L’encromancie
Bonjour, tout d’abord je me présente, je m’appelle Deborah carrion, j’ai 43 ans , je suis voyante pure et médium de naissance…
Je pratique plusieurs arts divinatoires , à commencer par la lecture du Tarot et des Oracles, depuis l’âge de 15 ans. Mais c’est beaucoup plus jeune que je m’amusât à jeter des tâches d’encre sur des feuilles, pour y lire comme dans les nuages, dans mon esprit de petite enfant…
J’ai découvert cette technique dans le cabinet du psychiatre qui me suivais, j’avais à peine 10 ans peut-être moins dans mes souvenirs…mais à cet âge là, j’ignorais bien évidemment que ce docteur avait pour référence le psychiatre suisse Herman Rorschach, qui inventait ce test en 1921… (Comme je l’explique dans un précédent article, je consultait très tôt car je voyais des morts et tant d’autres choses et que je donnais déjà des prédictions)…ma maman étant plus pragmatique et de nature rationnelle et objective, elle crue d’abord que j’avais un ”problème ”il fallut un peu de temps pour que elle et mon père comprennent et acceptent ma différence et cette singularité, leur fille étant médium…)
C’est à l’adolescence que je me servais de ces taches pour des lectures intuitives en divination, sans même connaître l’existence de Luce vidi, que je découvrais bien plus tard…
C’est donc instinctivement que cette technique m’ait venue comme quelque chose de très naturel et de très familier… Maintenant parlons de Luce vidi, Luce vidi Voyante et astrologue, Luce vidi qui était encore une écolière ,était fervente des sciences d’observation, elle apprit la chiromancie
Au couvent, la supérieure compris mal ce zèle peu orthodoxe et vit dans ses pratiques quelques interventions démoniaques et Luce s’en voyait souvent punie… Pourtant elle persistait dans ses études. Les années s’écoulèrent sans voir son zèle diminuer pour ce genre de recherches.
La grande guerre survint. Un soir chez des amis, l’idée lui vint inconsciemment de jeter quelques tâches d’encre sur un papier qu’elle pliait. L’ouvrant ensuite, elle y trouvait un aigle blessé et elle augurait la ruine de l’empire allemand. Elle y vue une prédestination et fit alors chaque jours de nombreuses tâches d’encre, notant ses prévisions, les vérifiant ou les corrigeant. Luce vidi voyageait beaucoup, notamment en Afrique du Nord où elle eu l’occasion d’entrer en relation avec des lettrés parmi les plus fins et les plus distingués d’Alger a qui elle doit la découverte d’admirables trésors que contient la riche bibliothèque musulmane qu’il dirige. Plus au sud ,elle vit de curieux et savants voyants arabes dont une poignée de sable dans un plateau de cuivre constituait le procédé divinatoire. Tout ce qu’elle avait appris des sciences d’observation, lui fournit une foule immense de bases d’interprétations. Elle y ajoutait le symbolisme hiéroglyphique, des caractères hébreux dont la cabale est remplie, chaque jours de nouveaux éléments s’y ajoutaient. Le symbolisme des visages, des mains, le symbolisme des écritures, des signes célestes, des couleurs, des chiffres, des sons, des tâches d’encre. Tout ceci obéissait à une réalité profonde encore que secrète.
Cette méthode divinatoire est basée sur le symbolisme des images produites par les dessins. Elle apporte aux arts divinatoires un procédé d’une valeur considérable et d’une richesse d’expressions difficiles à égaler,tant de variétés de dessins est infinie. Elle constitue un document fixe et définitif, qui cristallise la pensée d’un moment avec tout ce qu’elle constitue d’influence directe ou indirecte, psychique ou même physiologique.
Les tâches d’encre, pourquoi 13 tâches d’encre ?
Le chiffre 13 a toujours beaucoup préoccupé l’humanité par des caractéristiques mathématiques curieuses. C’est un nombre premier et il n’est divisible par aucun autre. Il ne peut avoir de rapport direct qu’avec l’unité et cependant il mesure déjà une quantité d’objets appréciables. A lui seul il forme un tout, mais ce tout est composé d’unités diverses juxtaposées. Il symbolise donc les différentes influences matérielles, intellectuelles, spirituelles cosmiques qui peuvent agir sur l’individu. Les anciens magistes disaient que 13 était le chiffre des invocations et le fait de réaliser l’expérience des tâches d’encre s’apparente d’une façon extrêmement moderne avec le phénomène. Puisqu’elles restent une sorte d’invocation ayant pour but de connaître les faits à venir.
Comment on interprète les tâches d’encre ?
Pour le clairvoyant intuitif, la première impression est extrêmement importante car elle a la faculté intuitive et qu’elle donne au dessin une appréciation personnelle qui fait dire très souvent au consultant : «Ce n’est pas ce que vous voyez qui importe, mais bien ce que moi, voyante je vois» Cette vue d’ensemble synthétique m’apporte une idée principale, une sorte de sensation-mère à laquelle j’y ajoute les précisions fournies par les détails «se faire un idéal étincelant et pur, tels les glaciers alpins que le soleil décore des diamants qu’il prend à l’azur et pose sur la neige, hermine éternelle…» -Luce vidi
Article Ésotérique rédigé par Deborah Carrion
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